Ref. GHG333BIK
[Revue] La Nouvelle Lanterne
Paris, René de Planhol, 1927-1937, 93 livraisons
In-12°. Brochés.
TRÈS RARE COLLECTION COMPLÈTE SUR HOLLANDE (1 des 60 exemplaires de tête) de cette revue qui reflète les idées monarchistes et dreyfusiennes de son auteur.
René de Planhol était tout à la fois : éditeur, diffuseur et surtout rédacteur unique ! Voilà ce que nous pouvons lire sous la plume d’Éric Dussert, critique littéraire et essayiste français : « Ardeur et sincérité de René de Planhol également qui lance La Nouvelle Lanterne (1927-1937, 93 livraisons) en hommage à celle de Rochefort. Dans de larges analyses nuancées mais vigoureuses (dans le domaine politique), ses « réflexions fortes » appartiennent elles aussi au genre poil-à-gratter. Avec toute sa raideur de fils de militaire, de Planhol a choisi une épigramme virulente de Rochefort en guise d’épigraphe : « Je l’ai appelée de ce nom-là parce qu’une lanterne peut servir à la fois à éclairer les honnêtes gens et à pendre les malfaiteurs. » Voilà qui joint parfaitement les vertus du chevalier blanc et du pamphlétaire. » (Dans La Revue des revues 2016/2 (N° 56), pages 46 à 105). La Nouvelle Lanterne était très appréciée de Léon Daudet qui lui a rendu hommage dans son Bréviaire du journalisme.
René de Planhol était tout à la fois : éditeur, diffuseur et surtout rédacteur unique ! Voilà ce que nous pouvons lire sous la plume d’Éric Dussert, critique littéraire et essayiste français : « Ardeur et sincérité de René de Planhol également qui lance La Nouvelle Lanterne (1927-1937, 93 livraisons) en hommage à celle de Rochefort. Dans de larges analyses nuancées mais vigoureuses (dans le domaine politique), ses « réflexions fortes » appartiennent elles aussi au genre poil-à-gratter. Avec toute sa raideur de fils de militaire, de Planhol a choisi une épigramme virulente de Rochefort en guise d’épigraphe : « Je l’ai appelée de ce nom-là parce qu’une lanterne peut servir à la fois à éclairer les honnêtes gens et à pendre les malfaiteurs. » Voilà qui joint parfaitement les vertus du chevalier blanc et du pamphlétaire. » (Dans La Revue des revues 2016/2 (N° 56), pages 46 à 105). La Nouvelle Lanterne était très appréciée de Léon Daudet qui lui a rendu hommage dans son Bréviaire du journalisme.
Tous les fascicules sont sur hollande, sauf les deux premières années qui ne furent imprimées que sur papier courant.
En excellent état ! (quelques légères traces d’humidité à quelques couvertures et décharges en 1ère page). Les fascicules sont protégés par des chemises et étuis. On joint quelques fascicules sur papier courant.
En outre, très rare correspondance entre René de Planhol et Georges Bragard, abonné de la revue résidant à Verviers (Belgique) et actif dans la presse verviétoise de l’après-guerre (cfr le quotidien « le Jour »). Elle s’étend entre le 27 décembre 1930 au 1er mai 1934, soit 10 lettres sous enveloppes. D’abord, purement factuelles, les lettres témoignent d’une amitié intellectuelle entre les deux hommes. Monsieur Bragard a eu l’intelligence de conserver des copies ou des brouillons des lettres qu’il envoyait à René de Planhol.
Très bel et rare ensemble !
550 €
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